Lors d’une expertise extra-judiciaire, Dicelin peut être missionné sous différentes formes.

  • Tout d’abord, une expertise extra-judiciaire peut-être menée en tant que « tiers expert » entre des parties rivales. Dicelin est missionné par les parties, une juridiction ou tout autre donneur d’ordre. C’est l’opportunité de pouvoir débattre contradictoirement en présence d’un homme de l’art du différend technique qui les oppose. Cette mesure permet dans un premier temps à l’expert de faire un inventaire des faits et d’en rechercher les causes. Elle incite également aux parties de le contraindre à ne laisser aucune zone d’ombre.

Tout rapport d’une expertise amiable extra-judiciaire peut valoir à titre de preuve dès lors qu’il est soumis à la libre discussion des parties.

 

  • Comme « expert de partie » missionné par une ou plusieurs parties associées, ou par leurs avocats. L’expert n’a pas pour mission de défendre son mandant, mais de lui donner un avis objectif. Il intervient pour aider son client à préparer sa stratégie de défense, ce qui ne doit en aucune façon remettre en cause sa loyauté ou son respect de la vérité.

 

  • Comme « conseil de partie » pouvant être désigné par une ou plusieurs parties associées, ou par leurs avocats. La désignation peut avoir lieu avant ou pendant le procès, voire après le dépôt du rapport de l’expert du juge. La durée de la mission est en général celle du procès quand il y en a un.

La valeur ajoutée du conseil de partie est l’acceptation d’assumer une fonction d’assistance, de soutien et d’accompagnement technique.

Enfin, Dicelin peut intervenir au sein d’un collectif d’experts dans le cadre d’une expertise publique faisant partie d’une expertise extra-judiciaire.